Jean Fautrier est inclassable. Toute sa vie, il a évité soigneusement les influences de toutes sortes, ne participant ni au cubisme, ni à l’école de Paris, ni à l’abstraction lyrique.
Peintre de la matière, de la trace et de la sensation, il influence durablement Paul Rebeyrolle ou encore Miquel Barcelo sans jamais être véritablement reconnu.
Un peintre à redécouvrir.
Jusqu’au 20 mai